Citations

======== CITATIONS ========

  • In   » Education  nouvelle , quelle histoire! »

(p 133) un mouvement toujours en mouvement,occupe une partie du terrain que la mort politique de Freinet, puis celle physique de Wallon avait laissé vacant

  • In  « Feu les écoles normales  »       

(Lakanal cité en 4e) « les hommes de génie vont etre les premiers maitres d’ecole d’un peuple »

(couplet de 1795 cité p 13) allez vous en gens de l’école ,on ne peut rien faire de vous!

In  « savoirs en rire » (tome 1)

(p 82) « Écoliers, avec ou sans collier? »

(p 176-178) « la mèche de « Janké » était le symbole de son exposition au monde (…) Innocents, nous en pleurions de rire. »

– In « Se former dans l’humour »

(4e) « L’invitation à l’humour nous donne la possibilité de réguler les tensions et, aussi bien, d’exorciser la monotonie que la suffisance (…) L’humour conjure le désespoir, fait la nique aux mauvaises « humeurs »

(p 18) « L’humour est-il un codicille abracadabrante? »

(p 168) « À la taille de ses perles, on apprécie cette huître d’un genre nouveau! »

-In « savoir en rire »(T 2)

(4e) » enfant de poeme cad createur,l’humour invente feintes et ruses,il utilise la surprise et parfois la seduction »

-In « savoir en rire (T 3)

(4e) « ce decalage vital,cette distance indispensable,cette non adherence aux choses qui permet a l’esprit de vaquer un instant hors des entiers battus »

(p 122) » le texte du « gai savoir  » de Nietzsche qui comparece qu’il appelle l’amitie stellaire a la rencontre de deux astres tous les millions d’annees »

(p235) « un soir Isaac etait sorti mediter a la campagne(…) songeait il alors a ce compromis impossible que constitue l’education d’un peuple ou d’un enfant »

– In « Écrire pour rire « 

({{4e}}) « L’eusse-tu cru, lecteur, dans nos drôles d’atelier, on peut rire et sourire. »

(151) « Écoutez vous parler intérieurement, soyez l’oreille de votre bouche pour devenir la main de votre esprit. »

– In « Sauve qui peut les morales »

(p 139) « Et vice vera, le tout à l’ego. »

– In « Potentialites de l’humour »

(p 101) « l’humour ne peut pas passer,on ne peut se passer de l’humour »

– In « Rire en toutes lettres » :

(p 19) « Ne baissez pas les bras comme un souffle qui retombe ! »

(p 157) « Pour en finir avec les savoirs sans saveur. »

-In « Parler de la mort et de la vie »

(p 13 ) « parler de la mort n’a jamais tué personne! »

(p 42)   » le néant ce n’est pas rien »

– In « La mort n’est pas au programme »

(4e) « Ne pas dire la mort c’est taire le désastre du monde. »

(p 121) « Ça me TUE que l’on n’ose parler de la mort et encore moins du mort. »

– In « Des conflits à l’école »

(p 167) « Que nos conflits soient limpides et coupants (…) Comment connaître la structure du cristal sans qu’il soit un jour cassé? »

– In « Écrire la correspondance »

(4ème) « Dérangeantes, vertigineuses et drôles, les lettres que vous écrirez avec nous. »

(p 7) « Le père Ubu culbute les muses. »

(p 34) « On jette la pierre à ceux qui l’ont à la place du cœur (…) Il y a du poing sur la planche (…)Pas de synthèse du type « bon chiite, bon gendre (…) Au cours de mêlées sans pardon, on verse des homélies comme un sel sur la plaie béante. »

(p 7) « On s’ennuie quand on est bébé. Alors on envoie des messages (cacas divers) qui sont autant de langages à déchiffrer par nos Champollion de mères. »

(p 15) « Je n’ai pas de bouche et cependant je parle, je n’ai pas de jambes et cependant je voyage. Qui suis-je ? »

(p 34) « Exposé au monde, à corps perdu, l’auteur de lettres ouvertes ne frôle pas l’abîme : il y plonge (…) On entend parfois l’écho du hurlement des loups dans la nuit des temps (…) On n’est pas dans ses petits souliers (…) Ce seront vos lunes de fiel. »

(p 74) « Dans un film japonais où des jeunes gens s’exhibent et s’offrent au regard qui lit sur leur corps, écrit, des lettres d’amour (…) oui demain je t’aurai mais pour l’heure je ne suis qu’un sexe d’encrier comme on dit un tigre en papier. »

(p 77) « On chante rarement les pieds et pourtant on s’en sert, surtout en poésie! Et on prend le sien s’il le faut… »

(p 92) « L’amour et la mort font partie du même lit. »

(p 109) »Sac au dos sans trêve notre homme (ou femme) aux semelles de vent n’a de cesse de poser son encre quelque part (…) Ceux qui ne sont pas nés quelque part. Ils sont d’ailleurs migrateurs, non sédentaires, en circulation. »

(p 120) « La terre des hommes était sur sa fin mais elle avait la main sur les yeux. »

– In « Penser avec Henri Lefebvre :

(p 57) « On attendait des géants rebelles, on eut des tâcherons bedonnants (… ) Fascinés et façonnés. Adaptés donc adoptés. »

(p 59) « En psychopathologie, les professeurs avaient-ils un cœur sous leur blouse blanche? »

(p 303) « Imaginez un ancien révolté (…) trempez dans la logomachie, retournez : c’en est assez, c’est Lefebvre que nous voulons! »

-In « sauve qui peut la ville »:

(p 26 ) »L’amour n’a plus de goût,non plus que la dispute. Le monde est las, en ses rets enserré »

-In « Maintenant Henri Lefebvre:

(p25) »Réfléchir n’est pas fléchir (…) Chez Lefebvre les mots s’agrègent et s’affolent(…) Comme des pierres, ils renseignent sur l’époque à laquelle ils ont été prélevés »

(p 34) « L’autogestion, c’est pas de la tarte »

(p 104 ) »Ne pense pas, dépense! »

In « Penser avec Jankelevitch »

(p33) sans parler de sa voix ,plus vte que la musique…

(p 34) DSK l’eut jugé pas assez libertin »

(p 35) deja le voile a l’ecole avec les religieuses en cornette au cours de J.Guitton »

(p 36 ) tant et tant de corps juveniles qu’une allumette enflammait sur leur pupitre »

(p 36) la directrice,ethicienne de surcroit,craignait un debat sur la paix au moyen orient

(p 90) le courage,inch Allah!touche pas a mon despote…

(p 138) le presque rien? pas n’importe quoi!

In « Agir avec Jankelevitch »

(p 73) ca le tue que l’on n’ose parler de la mort des victimes! »

(p 80) la transparence n’existe pas ,meme s’il faut travailler sur l’opacité…

(p 120) (lettre a H.L de  A.Philonenko ,cité p 120) la pedagogie de Jankelevitch(…) culmine avec la penetration dans l’ORDO AMORIS

(p 161) lalterite selon nos sages:l’un contre l’autre (le 1er Sartre)

l’un dans l’autre ( l’intersubjectivite de Merleau-Ponty)

l’un pour l’autre (Levinas)

« soi meme comme un autre(Ricoeur)

In « Diogene nom d’un chien »

(p 47) ethique et politique,l’ironie sauve la vie et la vue

(p 52) riez,nom d’un chien! mais de la vanité et vacuité

(p 106) a reculons,le chemin meme de votre vie!

(p 133) les boulets rouges de Diogene le cosmopolite n’ont pas fini de donner le tournis

In « Ecrire,publier,diffuser »

(p 70) si vous pensez qu’internet explorer est une navette spatiale,cookie un petit gateau sec,VSB une maladie venerienne,Macintoch une categorie de proxe

nete,alors recyclez vous

(p 115) chéri j’ai retreci les livres:la reecriture

(p 180) noircissez ,crayons,les pages de noir encore

-In « agir avec henri lefebvre »

(p 134) « on raconte que le philosophe ancien nommé Empedocle abandonna ses sandales avant d’y etre jeté et d’y mourir.Puissent nos modestes livres temoigner non seulement du fait que lefebvre a vécu mais egalement du fait qu’il revit aujourdhui »

(p 134) « l’histoire n »est amere que pour ceux qui l’attendaient sucrée.La vague semble moins vigoureuse mais elle revele ,en se retirant,le roc dissimulé par l’écume »

-In « humour et discipline(s) »

(p164) »agiter l’ouvrage avant de s’en servir:point de gros rire qui tache ici.En cas de symptome ,prevenir le zygomaticien de service(…) nos coauteurs n’ont pas d’aureole en or massif.Ils sont ces felés qui laissent passer la lumiere »

(p 164) « l’humour guette l’ecole en chaque point ou defaille sa rigueur »

(p 163) « ces grands cadavres a la renverse:les agélastes! »

-In. »l’humour outil éducatif »

(p 143) « mais l’idée nouvelle est justement celle qui surgit comme un enfant batard (…) Ah vraiment on rit d’untel individu,le gaffeur qui pose des questions

qu’on ne veut pas traiter ,aux personnes qui ne les entendent pas »

(p 164) « on n’a que faire ,chez les gaffeurs zygomaticiens et autres cyniques (dans le vrai sens du terme),des honneurs qui sont des horreurs.Ce sont des

liens qui point ne libérent.Des fanfreluches mondaines pour amuser la galerie des gogos(…) Le vent les emportera.Celui qui balaie vacuité et fatuité.Le

grand souffle de l’esprit qui nie les boursouflures superfetatoires »

(p 15) « sous ses airs sérieux, mystérieux,le gone n’était qu’un épigone »

(p 49) « la vie est un stage »

(p 132) « …les directions des grands méchants loups,plumant la volaille,a la recherche des petits chaperons rouges,roses,bleus,blancs,arc en ciel? »